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La Playlist Bien

François Tarot

Bio

François Tarot fut un temps une moitié de SF (pop lo-fi du dimanche soir), une autre de Arne Vinzon (chanzon bizarre du vendredi après-midi). Puis un 8e de Son du Mois (recyclage sonore) et un 16e d’Acousmates (fanfare éclectique à partitions). Aujourd’hui, il est un tiers de François Tarot, groupe au sein duquel il joue et enregistre ses chansons, françaises et pop, rock et roll. Les trois autres tiers de François Tarot sont : Etienne Gaillochet (batterie), Sylvain Legrand (basse).

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Disques

Autobio  (pré-Disques Bien – 2003)

« En CE2, à La Roche sur Yon (Vendée), j’avais réussi à conquérir l’institutrice, et surtout les cancres, en leur chantant, rouge tomate et tout tremblant, « le petit cheval » de Brassens. Du fond de la classe, ils dansaient sur les tables en criant mon prénom. A partir de ce jour, j’ai voulu être chanteur et, à chaque rentrée scolaire, l’ai annoncé à tous les profs dans la rubrique « profession envisagée ».

Au collège, J’étais fan de Brassens et Souchon. Sur mon cartable, j’avais gravé leur deux noms, le S de l’un croisant celui de l’autre, tel le A de ACDC et Metallica. Côté instruments, je jouais en boucle et à la flûte la musique de Pinocchio, puis ai étudié le saxophone au conservatoire, parce qu’à l’époque tous les tubes en intégraient un solo (« I’m gonna harden my heart, I’m gonna swallow my tears…»).Au lycée, 2 ans plus tard et pour la même raison, j’ai arrété le saxo. Entre temps, j’étais devenu fan des Smiths, et voulais désormais jouer de la guitare, pour combiner à la fois Marr et Morrissey. Mais je suis tombé sur un prof qui n’aimait que le jazz, l’instrument m’a paru vainement compliqué, j’ai arrété. Par la suite, quand j’ai découvert que la plupart des chansons que j’aimais pouvaient s’accompagner sur 4 accords, je lui en ai beaucoup voulu.

En prépa, à Paris, je me suis perdu de vue, j’ai cru qu’il fallait écouter du classique. Mais le rock s’est vengé et sur la fin je prenais presque toutes mes notes en anglais. Il était temps de partir, j’ai abandonné les études de philo et me suis remis à la guitare, cette fois avec des songbooks des Smiths, de Brassens et de Léonard Cohen. J’ai commencé à écrire des chansons, et quand on me demandait ce que je faisais , je disais : j’écris des chansons. Il y en avait très peu et toutes en anglais, mais ça suffisait. C’était neuf, c’était le destin, je ne doutais de rien et ai multiplié les concerts sous des noms de circonstance « 4 songs », « Oujda », « France-Brésil ».

Tout cela m’a attiré de nouveaux amis, garçons et filles. Avec une fille (Siryne Z), j’ai fait le duo « SF » : chaque dimanche soir, on buvait un peu, on faisait une chanson, et on a fini par sortir ensemble (SF – « Journal chanté »). Avec un garçon (Arnaud Vincent), j’ai fait le groupe « Arne Vinzon » : chaque vendredi après-midi, on buvait beaucoup, on faisait une demi-chanson, et on a fini par splitter (Arne Vinzon – « Dans les bulles tu disparais »). Les voici tous les deux :

2 individus plutôt gais, ce qui s’entend dans la musique. J’aime beaucoup ces deux disques.

Entre temps, je m’étais mis en tête d’écrire mes chansons en français. Fatale lubie: le destin m’est tout à coup apparu moins clair. J’ai commencé à me cacher, ai ralenti les enregistrements et cessé les concerts, n’osant sortir la tête que quand on me tirait par la manche (« le puzzle », groupe bicéphale avec Tante Hortense). J’ai fait autre chose : de la clarinette, toujours, avec les Acousmates (fanfare éclectique à partitions), des instruments (guitare, synthé, clarinette) pour Christian Huepe, French, Tante Hortense, Arnaud Fleurent-Didier, Quert, Flòp, des musiques de théatre, des sonorisations de concert (Les Instants Chavirés, LW ). Surtout, je me suis occupé et m’occupe toujours du Son du Mois, magazine sonore pionnier, foisonnant et souvent bon, qui me salarie et auquel je participe depuis 5 ans . J’y ai réalisé essentiellement des Petites Annonces (enregistrées sur répondeur et mises en musique ) et des chantages (discours que l’on a fait chanter).

Mais les cancres me manquent, et dans le fond j’aime rougir : je me suis donc remis à enregistrer. Un disque Bien doit sortir cet hiver, des concerts iront avec. Pour les enregistrements, je me suis adjoint l’aide précieuse et fraternelle de Sylvain Legrand, qui fait les basses. Pour les concerts, nous sommes 4, les deux mêmes idéalement complétés par Sabine Tarot (synthé, voix) et Etienne Gaillochet (batterie). Voici nos têtes :

Etienne Gaillochet écoute de la chanson française (20%), du rock velu, bruyant et original (45%), de la musique dite sérieuse classique et contemporaine (20%), et du jazz dit moderne (15%). Il joue par ailleurs et principalement dans We Insist. Sabine Tarot a à peu près les même goûts que son frère et vice versa, mais avec une spécificité Chanson française et une exclusivité Jazz. Sylvain Legrand aime de tout, à tel point que je ne lui ai jamais vraiment demandé ce qu’il aimait. Quant à moi, j’ai particulièrement aimé, aime encore, ou n’ai pas totalement renié (dans l’ordre chronologique) : Brassens, Anne Sylvestre, Alain Souchon, Léonard Cohen, Renaud, Toure Kunda, Bob Marley, Dire Straits, Thiéfaine, Higelin, Charlélie Couture, Lloyd Cole, les Smiths, les Smiths, les Smiths, les Cure, REM, les Waterboys, Felt, Kate Bush, Tom Waits, Momus, le Velvet, les Talking Heads, les Violent Femmes, Bach, Barbara, La Compagnie Lubat, Belle and Sebastian, Dominique A, Lio, Les Kinks, Gainsbourg, Bowie, Jonathan Richman, Dogbowl, Denim, Morricone, Renato Carosone, Daniel Johnston, Chris Knox, les Moldy peaches, Christophe. »

Actu

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Une nouvelle bande-son de François Tarot

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Concerts

Les artistes bien se reposent

Photos

  • F par S
  • FT géant vert
  • Les trois dans la tranchée
  • FT officiel

Vidéos

Presse

LES INROCKS, nov. 2008

« Détournée de la pop anglo-saxonne, une étrange chanson française »
De Florent Marchet à Dominique A, on a eu le temps de s’habituer à cette génération faisant du rock anglo-saxon en français. Entrés en chanson d’ici par hasard, par gout littéraire ou par paresse en anglais, équipés d’un maigre baluchon de références franco-françaises, ils maniaient certainement à leurs débuts plus les Pixies que Ferré, plus New order que Brel. Chez François tarot, le grand écart est encore plus spectaculaire, comme si, sur cet étrange album, la voix et les accompagnements étaient divorcés, ou faisaient au moins chambre à part. Impression souvent d’entendre ainsi un groupe de jeunes godelureaux élevés aux Libertines ou aux Smiths accompagnant un chanteur réaliste aguerri sur le circuit MJC/Caf Conc. François Béranger chez les Moldy Peaches, Thiéfaine chez le Monochrome Set ? C’est ce genre de chocs spatio-temporels qu’autorise cet album qui joue constamment le contre-pied, qui boite donc, mais avec une étonnante vélocité et une élégance de grand largué. Dans sa chambre, la jeune fille dit faire de sacrées parties de Tarot"

Sourdoreille.net, nov. 2008

François tarot a tiré la carte joviale réaliste.
La chanson à texte : pour beaucoup, c’est un goût musical de bobos qui aiment se masturber l’esprit. Une opinion défendable. Sauf que moi - plus bohême que bourgeois du fait du salaire versé par mon salaud de patron - je ne rejoins pas cette cause. Et quand je découvre François Tarot, ça me conforte dans mon idée.
La chanson française regorge de plume. François Tarot en fait partie. Même s’il y a un léger déficit musical à mes yeux, des auteurs de sa trempe font du bien à l’Hexagone. François sait être tragique, comme dans Tiscali tu m’as tué, mais également donner le sourire. Incisif, l’artiste francilien sait piquer juste sans tomber dans le cliché dénonciateur.
'Certes, certes' montre que l’on peut vivre avec peu. Un titre qui regorge d’optimisme malgré le non-emploi de son protagoniste. “Certes certes, je n’ai pas de boulot, mais je n’ai pas besoin d’un jean de plus”. La décroissance musicale en quelque sorte.
Adepte du jeu de mots, François Tarot apporte ce soupçon de gaieté plus que jamais nécessaire en cette fin 2008, où le spleen et la déprime n’ont jamais été aussi ancrées dans notre quotidien"

Chronicart, nov. 2008

"Dans notre soutien inconditionnel aux Disques Bien, où "l'artiste seul décide du contenu de son disque Bien", le nouveau venu François tarot, carresseur de chats, boxeur de la vie à ses heures ou sorry entertainer francisé, propose un premier album où la falicité pop (certes certes) le cède à une philosophie de la complexité (le contrepied, citant pascal ou hegel), ménageant à des mélodies entétantes (kinks ou trenet) des arrangements gonflés pour la modicité de l'entreprise Bien: varaition de tempi, cascades percussives, guitares dans les coins, fanfares en linéaments vigoureux, ponts quasi-psychédéliques, comme un disque en 2 temps, qui partirait en solo, naïf, cherchant ses pères, et finirait gagnant dans le beau jeu, collectif, trouvant ses pairs. A juste jouer, on finit par jouer juste."

Pinkushion.com, nov. 2008

Longtemps investi dans divers projets sonores, François Tarot défend enfin son premier album. Treize pistes au charme accidenté, empruntes d’humilité.
Son nom ne vous dit peut-être rien, mais François Tarot n’a rien d’un débutant. Il s’est notamment démarqué sur le site Le son du mois, magazine qui déclinait à l’envi les expérimentations autour de prises de sons diverses : découpage, détournement, mise en musique — sobrement intitulée 'chantages'. François Tarot a eu par exemple l’occasion d’y orchestrer, avec beaucoup d’humour et de légèreté, des petites annonces vocales laissées sur son répondeur.
Côté discographie, le jeune François a embrassé des trajectoires connexes, papillonnant successivement de la composition aux arrangements. On l’a vu ruminer sa rancœur contre un certain F.A.I. désormais posthume ('Tiscali tu m’as tué') ; puis musicien du dimanche en charmante compagnie (Journal Chanté en duo avec Syrine Z. sous le nom de SF) ou arrangeur désinvolte du vendredi pour Arne Virzon, Dans les bulles tu disparais (2000). La jeune fille dans sa chambre, premier album produit avec des moyens dignes de ce nom, permet à son auteur de se recentrer sur ses aspirations. À nous de découvrir finalement, au fil de ces treize chansons, qui est vraiment François Tarot.
Et c’est visiblement un chanteur sensible et plein d’esprit qui se livre à notre curiosité. Avec des orchestrations bien pensées, il égrène les saynètes issues du quotidien d’un jeune homme timide qui ne s’avoue jamais vaincu. Tantôt « son propre coach », comme il se définit lui-même avec malice dans “La Boxe”, ou amoureux maladroit « qui a longtemps caressé plus de chats que de femmes » (“Bobec”), il y a dans les chansons de François Tarot une sincérité indéniable et touchante, qui saura entrer en résonance avec nos propres expériences du quotidien, tour à tour lumineuses ou cruelles. Les mots, certes simples, sont toujours choisis, qu’ils servent une comptine à l’humour caustique (“Certes, Certes”) ou une chanson euphorisante, parfaite pour les matins difficiles (“La Boxe”).
Bientôt se dessine en filigrane un ensemble de références tantôt effleurées, tantôt explicites. Le passé philosophique de ce jeune homme dans sa chambre, qui convoque Pascal et Hegel, ou les références à la chanson française — de Dominique A à Christophe, convoqué sur un interlude planant, tout orgue dehors (“L’Humanité Est une Salope”) — sont autant de pistes possibles pour aborder François Tarot. Parfois, quelques escapades aux allures tziganes, par l’entremise des cordes ou des instruments à vents, font irruption et élargissent un peu plus notre horizon, comme sur “Une Vie de cheval”.
En guise de clôture sur “Adieu Gorilles”, François Tarot annonce fièrement la couleur : « j’ai choisi mon camp : les chats, les gosses, les frêles créatures ». Au vu de ce premier album attachant, cet aveu d’humilité lui va comme un gant.

Ground Control to Major tom, nov. 2008

"Nouveau promu de la scène française, François Tarot, écrit de délicieuses pop songs inscrites dans une certaine tradition de la chanson française enrobées dans un écrin pop moderne qui prend son ancrage de l'autre côté de la Manche (Belle and Sebastian, The Smiths...).
Cet héritage de la chanson française, on la ressent déjà avec la pochette façon portraitiste de Montmartre qui fait penser à la pochette  de l'album "Comment te dire adieu" de Françoise Hardy. Chaque titre de l'album posséde son propre univers, mais l'ensemble reste cohérent grâce à une écriture fine, incisive et drôle. La chanson réaliste n'est pas très loin."