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La Playlist Bien

M-Jo

Bio

« M-Jo, c’est Marie-Jo Long from Marseille, elle a une voix pure, qui ne ricoche jamais, ce qui ne l’empêche pas de troubler. Derrière, on trouve guimbardes, bandonéons et autres exotismes discrets. Flóp compose l’essentiel de ces douceurs. En bonus, il y a des clips autoréalisés avec fleurs et enfants, et ça coule comme le cinéma des origines, merveilleux. » Aureliano Tonet

Disques

LA PROPRIÉTÉ, C’EST LE JEU
« Mes propriétés énonce le titre de l’album (son premier). Le propre de
M-Jo, c’est justement de s’approprier les choses avec une grâce à faire
pâlir le plus proudhonien des anars : compos d’amis bienveillants (Flóp,
Tante Hortense, Étienne Jaumet) et exotismes de bon aloi (ukulélé,
bandonéon, tablas, wah-wah, brasilianeries) sont passés au tamis d’une
voix limpide, au caractère bien trempé. Une voix qui puise dans des eaux
profondes, eaux que l’on dirait baptismales si elles n’étaient si retorses.
Quand elle ne chante pas, M-Jo distille d’immenses instrumentaux dont
on ne sait s’ils relèvent de la chimie (atomes crochus) ou du charlatanisme
(retour défi nitif et durable de la mélodie aimée). La propriété, c’est le
vol ? Non, c’est le jeu. Démonstration.
« M-Jo aime jouer », disent d’elle ses partenaires de jeu. M-Jo, c’est Marie-
Jo Long, pour faire court : alter ego marseillais de Gal Costa et d’Astrud
Gilberto, dessinatrice, réalisatrice, danseuse, chanteuse bien entourée. Elle
publie aujourd’hui son premier album, Mes propriétés, qui est au jeu audio
ce que Solitaire est au jeu vidéo : une indéniable réussite.
« À quoi tu penses ? », entend-on en début d’album. À quoi joue M-Jo ?
Jeux de mots, jeux de mains jamais vilains, jeux paisibles souvent, bruyants
parfois, jeux d’adresse et de hasard, d’enfant et de massacre, d’échecs et de
construction, d’esprit et d’équipe, jeux d’écritures, qu’arbitre une voix aussi
pure que le hasard qui préside aux destinées de l’Euro Millions.
Qui sait jouer sait déjouer, et M-Jo ne déroge pas à la règle. Par exemple,
se méfi er du pronom possessif qui habille le titre de son album. Certes, Mes
propriétés est un disque éminemment personnel, jalousement couvé par
sa génitrice, qui a participé à toutes les étapes de sa confection (écriture,
enregistrement, arrangements, mixage, tracklisting, charte graphique, clip).
Mais derrière ce « mes » se cachent des « tu » en veux-tu en voilà. Rares,
d’ailleurs, sont les albums où le tutoiement est aussi généreusement usité :
« À quoi tu penses ? », « Toi et moi », « Tu t’aimes bien », « T’as un peu
abusé », « Je ne veux plus être porté par toi », « Le temps ne t’a pas tant
changé » disent ainsi les titres et accroches des chansons du disque.
L’histoire de ce tu, c’est un peu celle du thé qui unit, par une belle après-midi,
la voix gracile de M-Jo aux chansons grinçantes de Flóp (alias Francisco
Lopez) : elle, en cuisine, infusant un darjeeling, mêlant innocemment son
timbre aux notes émises, dans le salon, par le chansonnier, tout heureux de
découvrir en son amie une interprète à l’emploi. De cette rencontre naîtront
plusieurs CDR tout bonnement sublimes de tendresse alambiquée (Cooptée,
Idiots de nous) précédant la dizaine de chansons écrites et composées par
Flóp pour Mes propriétés. Comparé à Pierre Vassiliu et à Chico Buarque
par l’homme-orchestre Arnaud Fleurent-Didier, qui publia plusieurs de ses
morceaux en format « chansonpoche » lorsqu’il s’occupait du label-boutique
French Touche, Flóp prête ses talents de guitariste, de percussionniste,
de vocaliste et d’arrangeur à l’album de M-Jo, qu’il drape de textes et de
mélodies supérieures, dont l’apparente simplicité dissimule des trésors de
déstabilisations retorses.
Mais ce n’est pas tout, et à force de se focaliser sur le je ou le tu, on en
oublierait le « on », que le diptyque On va chercher / On va trouver,
somptueuse trouvaille instrumentale placée en milieu et en fin d’album,
nous rappelle on ne peut plus à propos. Album personnel, album duel, Mes
propriétés est aussi et surtout l’oeuvre d’un collectif, celui des Disques
Bien (www.lesdisquesbien.com), label de qualité, kolkhoze d’esthètes,
coopérative de goût et plus si affi nités. Le mensuel Chronic’art les décrit
comme des « tropicalistes cartésiens » pour leur manière d’allier exotisme
et justesse, frottements et précision, hétérodoxie et littéralité ; puisqu’on
y est, rapprochons-les aussi du Saravah des débuts, ou à un Tôt ou Tard
réduit au trio Annegarn / Boogaerts / Nataf, ce qui est déjà pas mal. Outre
Flóp et M-Jo, les Disques Bien abritent le cuistre délicat Tante Hortense
(qui signe ici l’heureuse Indolente), les pastiches postichés de La Pompe
Moderne (dont l’ombre plane çà et là), le joueur de cavaco Eddy Godeberge
(Tu t’aimes bien) ou l’über-hype Étienne Jaumet, multi-instrumentiste
moitié de Zombie Zombie, avec lequel M-Jo avait déjà échangé ses jouets
sur le CDR 5 titres Duet et dont le sax douillet éclaire ici On va trouver.
Gravitant autour de ce noyau dur, citons le tout aussi tout-terrain Seb Martel
(guitariste et arrangeur de Camille, Raul Paz, Las Ondas Marteles, etc.),
présent sur trois titres, mais encore le bandonéon de l’Argentin Fernando
Maguna (100 façons), le sarod et les tablas virtuoses des Indiens Sudeshna
et Nabankur Bhattacharya (Fixe) ou la fl ûte bansouri de Stéphane Dumas
(On va trouver), qui complètent l’impressionnante panoplie d’instruments
maniés par M-Jo ((cabasa, glockenspiel, guimbarde, haricot géant, wooden
box, bendir, chapchas, kalimba, dolak, nyatiti, gamelan balinais, clochettes
indiennes).
« Les voyages forment la jeunesse, mais ils déforment les chapeaux », faisait
remarquer Alphonse Allais. Le couvre-chef de M-Jo – chapeau pointu,
turlututu – a semble-t-il résisté à son exploration du vaste monde : l’Asie,
donc, dont les percussions tintent l’album d’une teinte doucement orientale
(pour votre gouverne, M-Jo pratique le gamelan au sein du groupe balinomarseillais
Gamelan Bintang Tiga) ; le Brésil, où elle vient d’enregistrer
avec Tante Hortense et le trio paulista A Revista do Samba un désarmant
traité d’exotisme inversé, à paraître tout bientôt – Brésil dont les vagues
balaient plusieurs plages de Mes propriétés (la comptine nordestine Abusé,
la bossa astrud-gilbertesque 100 façons) ; et puis tous « les autres continents,
tant qu’on y est » comme elle le chantait avec Flóp sur leur chef-d’oeuvre
dual, La France – nomadisme débridé dont témoignent par ailleurs les titres
des charmants courts-métrages que réalise et met en musique M-Jo quand
ça lui chante (Trans Express, Le premier qui parle, En quête d’Averroès) tous
visibles sur sa page Daily Motion).
On pourrait s’amuser longtemps encore comme ça, lancer, rattraper, troquer
les pronoms comme des osselets, je (M-Jo) / tu (Flóp) / on (Les Disques
Bien) / nous (le vaste monde), mais les meilleures parties ont une fi n, même
lorsqu’elles disposent, comme ici, d’un morceau caché (délicieuse plage
14). « À quoi tu penses ? / À toi / À d’autres », glisse avec malice le duo
d’ouverture. Le propre de M-Jo, c’est exactement cela : voix, jeux et joies en
partage, singulièrement. Vous aussi, accédez à ses Propriétés. »
Aureliano Tonet

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